Parlez du site à vos amis!
Danger De Mort
DANGER DE MORT DU M ME AUTEUR chez le même éditeur Un enfant pour un autre L'Homme à la tortue Véra va mourir L'…té de Trapellune La Gueule du loup La Maison aux escaliers L'Arbre à fièvre (nouvelles)
La Demoiselle d'honneur Volets clos Fausse Route Plumes de sang (nouvelles) Le Go˚t du risque Le Journal d'Asta L'Oiseau-crocodile Simisola Une mort obsédante En toute honnêteté (nouvelles)
Noces de feu Régent's Park Espèces protégées Jeux de mains Sage comme une image Sans dommage apparent DU MEME AUTEUR SOUS LE NOM DE BARBARA VINE
Ravissements Le Tapis du roi Salomon RUTH RENDELL DANGER DE MORT roman Traduit de l'anglais par Johan-Frédérik Hel Guedj CALMANN-L…VY Dans ce roman, je me suis attachée à rendre l'aspect, l'atmosphère et l'architecture du quartier de Maida Vale et de ses environs, non sans laisser un peu libre cours à mon imagination. Paddington Basin, le canal, les artères principales, les églises, les parcs et les jardins sont à peu près à l'image de la réalité, mais Russia Road n'existe pas et, même si j'ai veillé à inventer des noms de lieux tout à fait caractéristiques de cette partie de Londres, ces endroits - Torrington Gardens, Peterborough Avenue ou Castlemain Road n'existent pas non plus.
Titre original anglais : GRASSHOPPER (Première publication : Viking, Londres)
(c) Kingsmarkham Enterprises Ltd, 2000 Pour la traduction française : (c) Calmann-Lévy, 2002 ISBN 2-7021-3262-6 ILS M'ONT ENVOY…E ici à cause de ce qui s'est passé sur le pylône. Pour que je ne l'aie pas devant les yeux chaque fois que je sors ou que je regarde par la fenêtre.
" Nous avons bien pensé à vendre cette maison et à déménager, m'a avoué mon père. Ne crois pas que ça ne nous ait pas traversé l'esprit. Mais bon, malgré tout, tu ne... "
Il avait laissé sa phrase en suspens, mais je savais par quels mots il l'aurait achevée. Tu ne vas pas rester ici indéfiniment, avait-il envie d'ajouter. Une fille de ton ‚ge, tu ne vas plus habiter à la maison bien longtemps, tu vas fréquenter la fac, ou travailler, tu auras ton propre toit. Et de se dire aussi : loin des yeux, loin du cúur. Petit à petit, les gens cesseront de voir en nous les parents de cette fille, ne s'interrogeront plus sur notre rôle de parents et sur la manière dont nous avons éduqué notre fille pour qu'elle soit capable d'un geste pareil, ils arrêteront de nous dévisager et de nous montrer du doigt. Surtout si tu ne viens pas trop souvent. Et s'ils te croyaient morte, tiens, pourquoi pas ?
C'est peut-être ce qu'on va leur raconter.
Ce dernier propos n'est que le produit de mon imagination.
Je ne veux pas laisser entendre qu'ils voudraient me voir morte. Mon bien-
être leur tient à cúur, comme dit ma mère.
C'est s˚rement pour ça que la proposition de Max les a tant réjouis -
depuis le jour du pylône, jamais je ne les avais vus aussi heureux. Au mieux, ils avaient espéré que je me trouverais une chambre près
Lire des autres livres
Armistead Maupin.
Editions 10 18, septembre 2000.
Traduit de l'Américain par Pascal Loubet.
Adaptation : Braeme Grégory.
Site internet : http://www.greggbraille.com E-mail :
[email protected] Copyright : The Chronicle Publishing Company, 1980.
Copyright : Passage du Marais, 1995...
Puis...
Nul ne s’en serait soucié si quelques bateleurs et méchantes langues hérétiques ne s’étaient obstinés à chanter au vent des places de détestables paraboles sur ces bas-fonds et ces hauts lieux. Selon ces gens, les deux bâtisses épiscopales, jointes indiscutablement par leurs racines, prospéraient en...
Puis...
SERVIR ET À CONDUIRE UN AVEUGLE CHAPITRE II – COMMENT LAZARE SE MIT À SERVIR ET À CONDUIRE UN AVEUGLE EN ce temps vint gîter au logis un aveugle, qui, me trouvant propre à le conduire, me demanda à ma mère. Elle me recommanda à lui et lui dit que j’étais fils d’un homme de bien, qu...
Puis...
C’est ainsi que les petites filles qui ont peur de la nuit se cachent sous les couvertures. Elle s’accrochait à tous les petits espoirs qu’il y a ; ils cassèrent l’un après l’autre dans sa main. On n’a pas même le temps de bien s’aimer ; le temps de s’aimer est comme l’éclair.
L’automne s’était posé...
Puis...
Sleet swept in on a rush of wind, beating a tattoo against the walls before the door was pushed closed.
Sitting up in the hay, Sam watched as a lantern was hung on a peg. The slim shadow flitting across the lantern’s light had him sighing with relief.
“Mary Catherine.” He scrambled to his feet, wond...
Puis...